Nous avons profité de l’inauguration conjointe du Récital & du Virtuose à Publier en présence de nos acquéreurs pour recueillir un témoignage du parcours d’accession en BRS.
Nous avons rencontré Rachel, qui a acheté son logement – un T2 - via le Bail Réel Solidaire (BRS) au sein de notre programme Le Récital.
Comment avez-vous connu le Bail Réel Solidaire ?
Je cherchais un moyen d’être propriétaire suite à une séparation. En faisant des recherches sur des dispositifs facilitant l’accession à la propriété je suis tombée sur un article au sujet du Bail Réel Solidaire. J’ai pris connaissance de la documentation et je me suis dit que c’est ce projet-là qui me permettrait d’être propriétaire.
Comment avez-vous été informée de la commercialisation du programme ?
Je cherchais déjà activement à acheter en BRS dans le Chablais depuis un long moment. Lors d’une recherche sur internet j’ai dû tomber sur la page du programme.
Est-ce qu’il s’agit de votre premier achat immobilier ?
Oui c’est mon premier achat. Le format BRS et la SA MONT-BLANC m’ont permis d’être rassurée et sécurisée.
Qu’avez-vous pensé de l’achat sur plan ?
Cela a très bien fonctionné. Lors de ma première visite je me suis rendue compte que j’avais bien identifié le format, la taille de la cuisine…
Je n’ai pas eu de déception, ça correspondait à ma projection. Le délai de construction ne m’a pas posé souci.
Comment s’est passée votre expérience avec la SA MONT-BLANC ?
Très bien. Un très bon accompagnement. Le fait d’avoir le même interlocuteur du début du projet jusqu’au bout – qui mine de rien, se fait en beaucoup d’étapes, étalées sur de nombreux mois – a été très rassurant.
Si ce n’est pas indiscret, à quel prix avez-vous acheté votre logement ?
Le T2 que j’ai acheté était à 145 000 € + 5 000 € de parking (ndlr : il faut également prendre en compte la redevance foncière mensuelle, ici à 1,20 €/m2).
Que diriez-vous à quelqu’un qui n’est pas convaincu par le système du Bail Réel Solidaire ?
Dans ma région d’origine, le Centre, on est plus dans l’acquisition d’une maison, du jardin… Je sais qu’en Haute-Savoie je n’aurai jamais de maison avec jardin donc j’avais déjà passé le cap de cette propriété du sol qu’on peut avoir ou qu’on a pu avoir chez nos anciens.
Certains se diront que ça n’a pas d’intérêt d’être propriétaire de son logement sans être propriétaire du foncier. Je trouve que ça n’aurait pas d’intérêt de renoncer à un achat immobilier parce que je veux être propriétaire de l’entièreté.
Que diriez-vous à un potentiel acquéreur qui hésite à acheter en BRS avec la SA MONT-BLANC ?
Avec la SA MONT-BLANC il faut y aller, ils ont un côté sécurisant, plus rassurant qu’un promoteur. Ensuite il y a un « esprit BRS » : on n’achète pas en BRS pour faire du profit, c’est vraiment permettre un achat dans une région avec certaines particularités (ndlr : un marché de l’immobilier très tendu). Cet état d’esprit se marie très bien avec la SA MONT-BLANC.
Cet évènement fût l’occasion pour Rachel de revoir notre équipe commercialisation, de rencontrer la future équipe syndic’ qui s’occupera de la nouvelle copropriété mais aussi de faire connaissance avec quelques-unes de ses futures voisines.
Nous la remercions pour son témoignage et lui souhaitons une très bonne installation dans son nouveau chez-elle.
Interview réalisée le 14/05/2024 par le Service Communication de la SA MONT-BLANC.